Décidément, on ne les refera pas. Nos opposants gardent leurs méthodes passéistes et restent préoccupés uniquement par leur intérêt personnel.
Il y a d’abord eu le « zizigate ». Deux rugbymen se dévoilent sur une photo du magazine municipal. C’est déplorable mais, heureusement, invisible à l’œil nu ; mais le conseiller général pense que c’est l’affaire du siècle, que cela peut lui profiter ; alors tant pis si cela fait des victimes : il demande la démission du président du club (dont les personnes en question ne sont même pas membres), du maire, des sanctions contre le personnel municipal, le club, les employés d’un prestataire… Manque de chance, dès les premiers articles de presse, les journalistes sont unanimes : on ne voit rien ; et c’est aussi ce que disent les Coudekerquois sur les réseaux sociaux : on essaie à des fins politiques de donner à cette affaire un importance qu’elle n’a pas.
Toujours au chapitre des incohérences et fausses rumeurs, certains voudraient faire croire « que le maire n’est jamais là » mais les mêmes disent depuis des mois « y’en a marre on voit le maire partout, il en fait trop ! »… FAUDRAIT SAVOIR ! On ne peut pas passer son temps à dire tout et son contraire. Pour eux la campagne municipale a commencé ; et rien n’arrête leur aigreur et leur rancune : la vérité, ils s’en moquent. L’intérêt général : peu leur importe. Causer du tort à des salariés de la ville ou des associations : cela ne les effraie pas. Nuire à l’image de la commune : ils s’en fichent. Utiliser l’insulte, l’invective : ils pensent que c’est normal… Cela laisse à craindre que les prochains mois, qui devraient être un moment fort de démocratie pour notre ville, soient pollués par cette politique de bas étage et indignes des Coudekerquoises et des Coudekerquois.
En ce qui nous concerne, nous continuons de travailler pour vous au quotidien (il n’est pas sérieux d’être en campagne électorale un an avant !), et quand le moment sera venu, nous vous proposerons un grand projet d’avenir pour tous les coudekerquois.
