Déserts médicaux, hôpitaux surchargés, urgences souvent débordées, pénuries de certains médicaments, coûts en augmentation constante des mutuelles ou récemment annonce du doublement des franchises médicales, les soins deviennent de plus en plus difficiles à assumer pour nombre de concitoyens. Avec l’explosion du prix des mutuelles de 8 % jusqu’à 30 % en moyenne, notamment pour les séniors, de l’énergie et des produits alimentaires, va-t-il falloir choisir entre se soigner et manger ?
Et toutes les études, réalisées par l’Agence Nationale de Santé ces dernières années, démontrent que notre région des Hauts-de-France est particulièrement touchée par une mortalité plus précoce et une inégalité dans l’accès aux soins.
Et pour toutes ces raisons, à Coudekerque-Branche, depuis des années, nous avons engagé une politique de ville santé qui commence dès le plus jeune âge par l’alimentation (les circuits-courts, le bio dans les écoles et dans les crèches). Cela se traduit aussi par une offre de soins la plus étoffée possible, que ce soit avec les constructions des maisons de radiologie (en photo), du centre de santé communal ou encore du centre d’ophtalmologie ; et bientôt l’extension de la Clinique de Flandre avec l’arrivée de médecins spécialistes supplémentaires.
N’oublions pas également de mentionner le sport sur ordonnance !
Quand certains baissent les bras ou se détournent de ces questions, car elles ne relèvent pas de la compétence communale, nous tentons de les prendre à bras-le-corps et l’exemple récent de notre volonté de faire encore évoluer la mutuelle communale pour tenter de minorer les coûts d’adhésion en est la preuve flagrante.
Pas question à Coudekerque-Branche que l’on ne prenne pas soin de soi par méconnaissance, manque de moyens ou non accès à un professionnel de santé.
La santé est notre bien le plus précieux !
