C’est ce que nous souhaitons, et ce que nous proposons à l’Etat, au sujet des emplois d’avenir :

  • Depuis quelques mois maintenant, huit jeunes ont d’ores et déjà rejoint les services municipaux. La ville s’est donc engagée avec détermination dans le dispositif, car notre majorité a toujours cru à l’insertion par le travail. L’un de nos objectifs est d’assurer un service public plus proche de la population. Ils y contribueront tous, sous l’aile de leur tuteur.
  • Notre municipalité est fière d’accompagner ces jeunes dans leur parcours, de leur leur offrir cette fameuse « expérience professionnelle » exigée aujourd’hui dans le monde du travail. La ville va aussi assurer à chacun de ces jeunes une formation, pour qu’ils acquièrent une qualification.
  • Bientôt, d’autres emplois d’avenir seront recrutés, puisque nous avons ouvert 20 postes dans un premier temps. Nous tendrons la main à d’autres jeunes coudekerquois.
  • Mais allons plus loin ! Car ce dispositif présente une limite importante à nos yeux.

Au nom de quoi ces emplois d’avenir ne seraient pas ouverts à des jeunes qui ont fait l’effort de décrocher un bac pro ou un Bac ? Bien évidemment, le jeune sans diplôme a besoin de notre aide. Mais le bachelier, qui s’est accroché jusque là, ne mérite-t-il pas lui aussi qu’on lui accorde autant de chance ? Pourquoi l’écarter d’emblée ?

On ne peut pas laisser une partie de notre jeunesse sur le côté. C’est pourquoi nous avons souhaité voter une motion en conseil municipal, pour élargir les critères d’accès à ces emplois d’avenir. Ce serait mérité pour nos jeunes coudekerquois.

Avec l’emploi, c’est le logement qui permet de construire au mieux son avenir, c’est pour cela que nous avons déjà crée plus de 100 logements depuis le début du mandat et que les grands projets (plus de 200 logements supplémentaires) sont lancés sur le Vieux Coudekerque et autour de l’église Sainte-Thérèse.

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