En juin 2020, le président de la République lançait son fameux mantra « quoi qu’il en coûte », des centaines de milliards d’euros d’argent public injectés pour soutenir l’économie française face à la crise sanitaire mondiale. Ce principe s’arrête en cette rentrée, et il aura fonctionné pour maintenir l’économie à flots, sans toutefois éloigner la menace sur l’emploi.

Mais à la base, pour l’habitant, le retraité, la famille… la facture apparait désormais salée. C’est plutôt « quoi qu’il vous en coûte ! ».

Avec une série d’augmentations de prix très visibles sur le porte-monnaie :

  • + 8,7% pour le tarif réglementé du gaz
  • + 15% pour les carburants sur une année
  • + 2% en moyenne pour les mutuelles et les assurances
  • + 17% pour les fruits en un an

Face à cette inflation galopante sur des produits dont on ne peut se passer, encore une fois, les élus locaux ont agi à l’échelle de leur commune : en baissant le tarif de la cantine pour la rendre accessible à toutes les familles, en maîtrisant les coûts des activités sportives et de loisirs, ou en multipliant les aides directes et indirectes.

La Communauté urbaine a également pris sa part, avec des choix politiques importants pour la gratuité des bus ou des bibliothèques par exemple.

Mais elle intervient également avec le programme éco-gagnant : aides financières à l’amélioration de l’habitat, aide à l’acquisition d’un vélo, réduction de la consommation d’eau (donc de la facture). Sur ce plan, notre territoire est bien plus solidaire qu’ailleurs en France, car nos élus vous accompagnent au quotidien et connaissent vos préoccupations.

 

 

Magazine communautaire #4 : T R I B U N E – Agir pour l’avenir de notre littoral

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