Cela fait plus de trois ans que la commune de Coudekerque-Branche se mobilise pour rénover les bâtiments les plus fréquentés par la population. Cette année 2012, la ville va donner un coud’neuf à l’Espace Jean Vilar afin d’améliorer aussi bien le confort des spectateurs que la qualité des spectacles.

Explications de notre Maire, David Bailleul :

La ville investit pour l’avenir et plusieurs grandes actions vont être entreprises en 2012 sur la ville dont la rénovation complète de l’Espace Jean Vilar avec le passage au numérique du cinéma communal. A ce titre, nous venons de déposer un dossier de financer auprès de la Région pour qu’une partie de cet investissement, qui atteint tout de même la somme de 80 000 euros soit pris en charge.

Au cours de l’année 2011, le cinéma de Coudekerque-Branche a réalisé 12 315 entrées sur 132 séances, soit en moyenne 93 spectateurs par séance. C’est une véritable source de satisfaction pour la municipalité car sa fréquentation ne cesse d’augmenter au fur et à mesure des années. Rappelons qu’en 2005, elle n’était que de 3 271 entrées. Mais les technologies évoluent rapidement entrainant de profonds bouleversement dans la filière cinématographique. L’arrêt prochain de la distribution des films sur support argentique (pellicules) place les exploitants de cinéma dans l’obligation de remplacer leur matériel de projection.

L’année dernière de gros travaux ont été nécessaires pour l’installation d’une nouvelle sonorisation numérique pour permettre aux spectateurs de profiter du son Dolby SR à chaque séance. Cette année, la municipalité va donc donner un coud’accélérateur aux travaux en passant le studio du Hérisson à la technologie numérique et à la 3D. Ce passage au numérique devrait suite à une délibération du Conseil Municipal du 11 avril 2012 être financé à 90% du montant HT par le Conseil Régional et le Centre National du Cinéma.

L’espace Jean Vilar va donc faire peau neuve pour le plus grand plaisir des spectateurs de plus en plus nombreux. Cette bonne nouvelle s’accompagne aussi pour la municipalité d’une prise en charge partielle qui en ces temps de difficultés financières héritées du passé sont devenues plus que nécessaires pour la ville.

 

 

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