Alors que la France paye un très lourd tribut à la Covid-19 depuis plus d’un an, la campagne de vaccination a enfin démarré. Mais derrière la prouesse de quelques laboratoires (étrangers) de concevoir un vaccin si vite, on ne peut pas dire que ce soit une réussite.

Le Dunkerquois le sait bien, durement affecté, avec un taux d’incidence record. Les élus locaux ont dû réclamer avec insistance l’écoute du gouvernement pour accélérer le mouvement et obtenir enfin des doses supplémentaires.

Mais on compte encore trop peu de doses, et trop peu de centres de vaccinations, malgré des initiatives locales et des offres de services des communes auprès de l’Etat et de l’ARS. Nous sommes convaincus que c’est en s’appuyant sur les maires et la proximité que la deuxième phase pourra être un succès, au contraire de la première qui a beaucoup ressemblé, au niveau de l’Etat, aux épisodes des masques, des tests de dépistage, etc.

Et alors que la proximité devrait être la clef de voute des solutions en direction des habitants, a contrario, la France cède aux injonctions de Bruxelles qui entend généraliser un pass sanitaire européen.

On marche sur la tête !

Cela signifie que la demande de commissaires européens NON ÉLUS par la population va s’imposer à nos représentants et au Président de la République !

Pour info, ce sont les mêmes responsables européens qui ont géré les contrats de vaccins avec les groupes pharmaceutiques, se targuant d’avoir pré-commandé 2 milliards de doses…

Mais pré-commander ne signifie pas les obtenir !

Les pays qui ont géré en direct (le Royaume-Uni par exemple) sont mieux servis : c’est un fait.

 

 

 

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